A propos des faux et contrefaçons de krugerrand !
Depuis un certain nombre d’années, des faux krugerrands ont été produits et fabriqué en chine. Réalisés la plupart avec un noyau en tungstène et plaqué d’or.
Un faux pèse quasiment le même poids qu’un vrai krugerrand avec les mêmes mesures.
On peut parfois les repérer, grâce à leur couleur d’or plutôt jaune que rosée d’un vrai krugerrand.
Lire aussi : la 1ère pièce d’une once : le Krugerrand.
Il faut se rappeler un vieux dicton sur l’or :
« De l’or sonnant et trébuchant »
Un Kruggerand que l’on fait tourner et sonner lors de son basculement et son oscillation sur une table ou du verre aura un son plus grave et nettement moins aigu qu’un krugerrand authentique.
Cette méthode est d’ailleurs valable pour la plupart des fausses pièces même en or mais qui ont des titrages souvent inferieurs.
La frappe d’un faux krugerrand est en général bien faite avec quelques défauts.
Voici donc un vrai et un faux en photo et les détails auquel il faut prêter attention.
1. Les faux krugerrand sont plus jaunes que rosés
2. Des détails sont non présents dans le relief des fesses
3. Des détails sont absent sur la queue
4. Le sabot est plus gros
5. Les détails dans la couverture du sol sont différend
6. Une ligne est absente du flan du springbok
7. Les anneaux des cornes et des détails de la tête sont absent
8. La pièce a l’air comme polie
Lire aussi : zoom sur la Krugerrand.